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Par Anika en vadrouille le 24 Décembre 2016 à 01:18
Pour le défi de Lady Marianne
Un peintre très tourmenté et alcoolique
le fils de Suzanne Valadon, que je vous ai montré samedi dernier
MAURICE UTRILLO
Né un lendemain de Noël, au no 8 rue du Poteau à Montmartre, dans le 18e arrondissement de Paris, Maurice Utrillo est un des rares peintres célèbres de Montmartre qui y soit né. Il est le fils de l'artiste peintre Suzanne Valadon (de son vrai nom Marie Clémentine Valadon) et d'un père inconnu. Ce n'est probablement pas le fils du peintre catalan Miguel Utrillo, un des amants de Suzanne Valadon, qui l'a néanmoins reconnu en 1891 et lui a donné son nom.
Portrait de Maurice Utrillo fait par sa mère Suzanne Valadon
nika
9 commentaires -
Par Anika en vadrouille le 17 Décembre 2016 à 14:57
Cette semaine je n'ai pas fait de photo
mais j'ai fait de la déco pour Noël
Une couronne faite avec un vieux porte manteau en fer
et des boules de toutes les couleurs
14 commentaires -
Par Anika en vadrouille le 17 Décembre 2016 à 09:28
Cette semaine pour le tableau du samedi de Lady marianne
je voudrai vous parler d'une grande artiste contemporaine
SUZANNE VALADON
Suzanne Valadon, pseudonyme de Marie-Clémentine Valadon1, née le 23 septembre 1865 à Bessines-sur-Gartempe (Haute-Vienne) et morte le 7 avril 1938 à Paris, est une artiste peintre française.
Elle est la mère du peintre Maurice Utrillo.
Fille naturelle d’une blanchisseuse, Suzanne Valadon devient acrobate de cirque en 1880, jusqu’à ce qu’une chute mette fin prématurément à cette activité. Dans le quartier de Montmartre où elle habite avec sa mère, puis avec son fils naturel, le futur peintre Maurice Utrillo, né en 1883, elle a la possibilité de s’initier à l’art.
Son genre de beauté solide attire le regard des artistes et, devenue leur modèle, elle les observe en posant, et apprend ainsi leurs techniques. Modèle de Pierre Puvis de Chavannes, Pierre-Auguste Renoir, de Henri de Toulouse-Lautrec, elle noue des relations avec certains. Habituée des bars de Montmartre où la bourgeoisie parisienne vient s’encanailler, Toulouse-Lautrec, durant cette période, fait d’elle le portrait intitulé Gueule de bois.
Edgar Degas (pour qui elle n'a jamais posé, malgré ce que l'on dit souvent), remarquant les lignes vives de ses dessins et de ses peintures, encourage ses efforts. Elle connaît de son vivant le succès et réussit à se mettre à l’abri des difficultés financières de sa jeunesse, pourvoyant aux besoins de son fils, appelé à sa naissance Maurice Valadon, et qui ne prendra que plus tard le nom de famille de Miguel Utrillo, son père présumé.
Suzanne Valadon peint des natures mortes, des bouquets et des paysages remarquables par la force de leur composition et leurs couleurs vibrantes. Elle est aussi connue pour ses nus. Ses premières expositions au début des années 1890 comportent principalement des portraits, dont celui d’Erik Satie avec qui elle a une relation en 1893. Il lui propose le mariage au matin de leur première nuit. Seule relation intime de celui-ci, elle le laisse, comme il dira, avec « rien, à part une froide solitude qui remplit la tête avec du vide et le cœur avec de la peine.[réf. nécessaire] »
En 1894, Suzanne Valadon est la première femme admise à la Société nationale des beaux-arts. Perfectionniste, elle peut travailler plusieurs années ses tableaux avant de les exposer.
Son mariage, en 1896, avec un agent de change, prend fin en 1909, Suzanne quitte son mari pour l'ami de son fils, le peintre André Utter (1886-1948), qu’elle épouse en 19143. Cette union, houleuse, dure près de trente ans. André Utter en Adam et elle-même en Ève figurent sur l’une de ses toiles les plus connues, Adam et Ève. En 1923 elle achète avec Utter le château de Saint-Bernard, au nord de Lyon, pour couper son fils de ses penchants pour l'alcool, Maurice Utrillo peint le château ainsi que l’église ou encore le restaurant du village.
À la fin de sa vie, Suzanne Valadon se lie d'amitié avec le peintre Gazi le Tatar et, poussée par cette rencontre, se remet à peindre
Antoportrait de Suzanne Valadon - 1898 -
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Par Anika en vadrouille le 10 Décembre 2016 à 18:19
Le tableau du samedi pour Lady Marianne
JOHANNES VERMEER
Johannes ou Jan Van der Meer, dit Vermeer ou Vermeer de Delft, baptisé à Delft le 31 octobre 1632, et inhumé dans cette même ville le 15 décembre 1675, est un peintre baroque néerlandais
Nous sommes allés à Den Haag en Hollande il y a quelques années et nous avons visité le musée
il y a des oeuvres magnifiques
Le plus célèbre : LA JEUNE FILLE A LA PERLE
dont un film a été tourné en 2003 - Film de Peter Webber
avec Scarlett Johansson dans le rôle titre
Autoportrait de Wermeer
1662 - 1675
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Par Anika en vadrouille le 7 Décembre 2016 à 00:31
Pour le mois de décembre
chez Khanel3
le défi est - LES JEUX
je voudrai vous parler d'un jeu qui se joue en Bretagne mais aussi
en Mayenne et dans le Maine et Loire,
LE PALET
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Le palet breton se joue en 12 points. Chaque palet placé sur la planche, sans avoir rebondi sur le sol, le plus près du maître fait marquer un point à son équipe. Lorsqu'un joueur place son palet au-dessus du maître, on dit qu'il fait un chapeau et alors le palet se trouvant au-dessus est gagnant s'il y a possibilité de point. Deux joueurs touchant le maître sont mis à égalité et on recommence le lancé. Une partie se joue en général en deux manches gagnantes. Le palet en fonte mesure 56 mm de diamètre. Le joueur se place à 5 m du bord de la planche avec des palets de 120 grammes environ.
Le palet sur cible ou le palet sur planches à trous sont des variantes
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Par Anika en vadrouille le 3 Décembre 2016 à 00:52
Le tableau du samedi de Lady Marianne
AUGUSTE RENOIR
Pierre-Auguste Renoir dit Auguste Renoir, né à Limoges le 25 février 1841 et mort au domaine des Collettes à Cagnes-sur-Mer le 3 décembre 1919, est l'un des plus célèbres peintres français
-=-=-=-=-=-=-
Deux tableaux en miroir, conçus en pendants, qui jouent sur une série d'oppositions avec un sens de l'observation sociologique admirable. D'un côté, l'animation enjouée d'une partie de campagne, l'expression fraîche et spontanée d'une grisette fleurie, la complicité détendue de deux partenaires le temps d'une musette. De l'autre, la sophistication précieuse d'un grand bal bourgeois, l'élégance composée d'une jeune fille de bonne famille, l'accord de bon aloi d'un couple de convention.
NIKA
11 commentaires -
Par Anika en vadrouille le 26 Novembre 2016 à 17:34
Le tableau du samedi pour Marianne
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Gustave Caillebotte (1848-1894)
Les raboteurs de parquet
1875
Huile sur toile
H. 102 ; L. 146,5 cm
Les raboteurs de parquet
Ce tableau constitue une des premières représentations du prolétariat urbain. Si les paysans (Des glaneuses de Millet) ou les ouvriers des campagnes (Casseurs de pierres de Courbet) ont souvent été montrés, les ouvriers de la ville ont très rarement fait l'objet de tableaux. Contrairement à Courbet ou Millet, Caillebotte, bourgeois aisé, n'introduit aucun discours social, moralisateur ou politique dans son oeuvre. L'étude documentaire (gestes, outils, accessoires) le place parmi les réalistes les plus chevronnés.
Caillebotte a suivi une formation académique auprès de Bonnat, et la perspective accentuée par l'effet de plongée et l'alignement des lames de parquet est conforme à la tradition. L'artiste a dessiné une à une toutes les parties de son tableau, avant de les reporter au carreau sur la toile. Le torse nu des raboteurs est celui de héros antiques. Mais loin de s'enfermer dans ces exercices académiques, Caillebotte en exploite la rigueur afin d'explorer l'univers contemporain de manière inédite.
Autoportrait de Gustave Caillebotte
20 commentaires -
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Par Anika en vadrouille le 13 Novembre 2016 à 09:40
Comme me l'a fait remarquer Milfontaines ma zizine
participer au défi "Tableau de la semaine" doit être sympa
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je vous présente un tableau d'une artiste inconnue
ARMELLE
une amie bretonne
NIKA
12 commentaires
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