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  • Forêt de Broceliande

    Brocéliande est une forêt mythique de la légende arthurienne, où se déroulent de nombreux récits mettant en scène Merlin, les fées Morgane et Viviane, ainsi que certains chevaliers de la table ronde. Les textes y situent plusieurs hauts lieux et hauts faits, notamment le val sans retour où Morgane piège les hommes infidèles jusqu'à être déjouée par Lancelot du lac, et lafontaine de Barenton réputée pour faire pleuvoir. Brocéliande serait aussi le lieu de la retraite, de l'emprisonnement ou de la mort de Merlin.

    Anciennement, Brocéliande était assimilée à la Forêt de Lorge (dite aussi forêt de Quintin), mais depuis le milieu du xixe siècle, les différents auteurs l'associent de préférence à la forêt de Paimpont. Cette théorie est la plus largement admise par la culture populaire, et en France, seules les communes autour de la forêt de Paimpont utilisent officiellement le nom « Brocéliande »1. Cette dénomination revêt désormais un intérêt économique pour cette région.

    Mildéfis n° 149 - Un arbre de la forêt

    Photo prise sur le net

    Mildéfis n° 149 - Un arbre de la forêt

     


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  • Une photo de printemps pour commencer la semaine

    Défi de Khanel - Du vert pour février

    BONNE SEMAINE

    Défi de Khanel - Du vert pour février

     


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  • Un peu de culture, tout en riant...

     

    Histoires du dimanche

    Quand humour rime avec culture, cela devient un grand cru

    > > et je suis obligé de faire suivre !
    > >
    > >
    > > Une phrase de Robert Surcouf, célèbre corsaire Malouin,répondant à un amiral britannique qui prétendait ceci :

    > > "Vous les Français vous vous battez pour l'argent, nous Anglais, nous nous battons pour l'honneur !!!"
    > > Et Robert Surcouf de répondre :

    > > "Monsieur, chacun se bat pour ce qu'il n'a pas"
    > >
    > >
    > > Lors d'un échange entre les deux rivaux politiques du 18ème siècle,

    > > John Montagu, Comte de Sandwich, et le réformiste John Wilkes.

    > > Montagu dit à Wilkes
    > > "« "Monsieur, je ne sais pas si vous mourrez sur l'échafaud ou de la syphilis. »
    > > Réplique de Wilkes :
    > > « Cela dépend, monsieur si j'embrasse vos principes ou votre maîtresse. »
    > >
    > > Lady Astor apostropha un jour Winston Churchill :                              
    > > « Monsieur Churchill, vous êtes ivre ! »
    > > Réplique de Churchill :
    > > « Et vous, Madame, vous êtes laide... Mais moi, demain, je serai sobre ! »
    > >
    > > Cindy Crawford à Amanda Lear lors d'un cocktail :                              
    > > « Merci de m'avoir envoyé votre livre, je l'ai adoré. Mais dites-moi, qui vous l'a écrit ? »

    > > Réplique d'Amanda :
    > > " Je suis ravie que vous ayez apprécié mon livre. Mais dites-moi, qui vous l'a lu ? »
    > >
    > > Le Prince de Conti était fort laid. Aussi sa femme le trompait sans vergogne. Un jour, en partant, il lui dit :
    > > « Madame, je vous recommande de ne pas me tromper pendant mon absence. »
    > > Réplique de sa femme :
    > > « Monsieur, vous pouvez partir tranquille : je n’’ai envie de vous tromper que lorsque je vous vois. »
    > >
    > >
    > > Churchill fit un jour la remarque suivante à son George Bernard Shaw

    > > (alors très maigre contrairement à ce premier de forte corpulence) :
    > > « À vous voir, tout le monde pourrait penser que la famine règne en Angleterre. »
    > > Réplique de Shaw :
    > > « À vous voir, tout le monde pourrait penser que c'est vous qui en êtes la cause. »
    > >
    > >  
    > > Lors d'une visite du palais de Blenheim (maison ancestrale de la famille Churchill ),

    > > Lady Astor, l'icône féministe, se retrouva à discuter des droits des femmes avec

    > > Winston Churchill, qui n'était pas réputé pour son affection pour le sujet.                              
    > > Au sommet de leur désaccord, Lady Astor s'écria :                              
    > > « Winston, si j’’étais votre épouse, je mettrais du poison dans votre verre ! »
    > > Réplique du tac au tac de Churchill :
    > > « Eh bien moi, Nancy, si j’’étais votre mari, je le boirais"
    > >
    > >
    > > Sacha Guitry et Yvonne Printemps, son épouse du moment, se promènent dans un cimetière.
    > > « Lorsque vous serez là, on pourra écrire sur la pierre : Enfin froide, » déclare galamment le spirituel Sacha.
    > > "Et quand vous y serez, sur la vôtre on pourra écrire : Enfin raide."
    > >
    > > Je ne sais plus quel animateur de télé pose cette question fondamentale à Michel Blanc :
    > > « Être chauve, est-ce un handicap ? »
    > > « Je suis chauve, mais j'ai une queue de cheval ! »
    > >
    > > Au Conservatoire national d'art dramatique, Louis Jouvet, professeur, à François Périer, jeune élève :
    > > - Si Molière voit comment tu interprètes ton Don Juan, il doit se retourner dans sa tombe.

    > > Et Périer de répliquer du même ton :
    > > - Comme vous l'avez joué avant moi, ça le remettra en place.
    > >
    > > Anna Tyskiewicz, future comtesse Potocka, cachait avec soin un strabisme divergent.
    > > Mais Talleyrand, le plus célèbre pied-bot de l'Histoire, connaissait cette infirmité.

    > > Un jour, elle s'avisa de lui demander :
    > > - Comment allez-vous, Prince ?
    > > - Comme vous voyez, madame, répondit Talleyrand.
    > >
    > >
    > > « Le maréchal va beaucoup vous manquer…» dit-on à l’'épouse du Maréchal de Boufflers après qu’’il fut décédé.
    > > -« Peut-être. Mais au moins, je saurai où il passe ses nuits » réplique-t-elle.
    > >
    > > Monsieur de Rivarol, combien d’’années me donnez-vous ? » demandait une vieille coquette à l’’homme célèbre.                              
    > > Réponse :                              
    > > «Pourquoi vous en donnerais-je Madame ? N’’en avez-vous donc pas assez ?"
    > >
    > >
    > > A la fin d'un dîner organisé par Winston Churchill, le maître d’hôtel du héros de la guerre présente la cave à cigares aux invités.
    > > L’'un d’entre eux, sans le moindre scrupule, en prend cinq, les met dans sa poche et déclare :            
    > > "C’est pour la route. »
    > > « Merci d’’être venu d’'aussi loin, lui lance Churchill. »

    > > 

    > > 

    > > Quand humour rime avec culture, c'est un miel !

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