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Bonjour à toutes et tous
Depuis 3 jours impossible de poster des photos,
la wifi ne marche pas
Je vais vous voir mais ne peux laisser de commentaires, ils s'effacent aussi taper
j'espère que vous ne m'en voudrez pas
Je pense bien à vous et regardent vos blogs et vos reportages avec intérêt j'espère que bientôt ça ira mieux
Je ne sais même pas si ce billet va passer
Bisous à bientôt
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Il fait toujours très beau en Bretagne,
mais aussi très chaud, mais on ne va pas se plaindre
après l'hiver qu'on a passé
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Lac aux ducs
Les Sentiers des Hortensias et la pépinière, qui se trouve à proximité, sont des lieux à voir absolument tant que la période de la floraison dure.
Son nom savant est Hydrangea, et sa fleur est le symbole de la Bretagne. L'hortensia est à l'honneur sur les rives du Lac au Duc grâce au Sentier des Hortensias, un chemin pédestre bordé de milliers de fleurs bleues, rouges et pourpres. C'est le rendez-vous incontournable des amateurs d'hortensias, comme Maryse Cloerec, qui fait régulièrement le déplacement depuis Vannes. « La situation est idéale, car les arbres protègent la plante des rayons du soleil. Ainsi, elle peut s'épanouir et révéler ses couleurs. »
Un procédé qui dure plusieurs mois, puisque l'hortensia fleurit au printemps et ne perd ses atours qu'aux gelées hivernales. « Autrefois les gens coupaient les fleurs et les laissaient dans un vase avec peu d'eau. Ainsi la fleur s'asséchait progressivement sans perdre ses pétales et pouvait être conservée tout l'hiver à la maison », se rappelle Maryse Cloerec.
Il m'aura fallu un match de foot pour pouvoir faire cet article,
soit 90 mn
Bisous à tous et toutes
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À l'extrémité de l'une des pointes de la presqu'île de Locoal, qui s'avance dans la ria d'Étel, près du village de la Forest, on parvient à l'orée d'un bois. C'est là que débute un petit chemin creux, entouré de murets centenaires qui nous transporte plus de 200 ans en arri
1793 : après avoir participé à la guerre de Vendée, aux côtés des royalistes contre les Républicains, Georges Cadoudal est revenu sur ses terres, à Auray, où se trouvent aujourd'hui sa maison natale et son mausolée, à Kerléano, et à Locoal-Mendon dont est originaire sa mère. Il y prend le commandement des troupes locales de chouans, participant notamment à l'expédition de Quiberon en 1795, y soutenant vainement le débarquement des nobles émigrés en Angleterre, en vue de rétablir la monarchie.
Une cache indétectable
Un peu plus loin, un impressionnant chêne, contemporain du grand chef royaliste, couvre de ses branches la clairière au centre de laquelle il a poussé. Il a forcément vu passer Cadoudal et ses hommes. Le sentier mène à la ria, essentielle pour les chouans. Ses méandres, ses îles et presqu'îles, ses criques, leur permettaient de fuir leurs adversaires, et de rejoindre Nostang ou Sainte-Hélène, sur l'autre rive. Cette terre natale de Georges Cadoudal était une base idéale.
Il devient ensuite commandant en chef de l'armée catholique et royale du Morbihan, avec laquelle il tient tête, dans les campagnes, à l'armée républicaine. Durant cette période, Georges Cadoudal fait de cette pointe de la presqu'île de Locoal, l'une de ses bases.
L'arbre aux pendus
Combien de combats ont eu lieu ici ? Combien de chouans ont couru sur cette grève ?
En 1799, Cadoudal devient Commandant de l'armée catholique et royale de Basse-Bretagne pour une troisième chouannerie qui échoue encore, alors que Napoléon Bonaparte prend le pouvoir. Il proposera à l'Alréen de devenir général de brigade dans l'armée républicaine. Cadoudal préfèrera s'exiler en Angleterre pour fomenter plusieurs plans pour renverser le premier consul Bonaparte. De retour en France pour en mettre un à exécution, il est arrêté et guillotiné en 1804, refusant la grâce qui lui est offerte alors qu'elle ne l'est pas à ses officiers.
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